Articles de tony-meteorites-86

  • La météorite Toluca

    La météorite de Toluca a été trouvée en 1776 dans la région de Xiquipiluo au Mexique. Elle fait partie des sidérites octahédrites IA. Les sidérites sont composées essentiellement de fer et de nickel en quantité plus faible. Les sidérites octahédrites sont les plus répandues et possèdent entre 7 et 15 % de nickel.

    (source: http://www.astrosurf.com)

    TolucaCrédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Ausson

    Chute française de 1858 trouvée à Ausson en Haute Garonne, classée L5. Infime fragment présenté issu de ma collection.

    Ausson

     

    Un second fragment de 0.947gr présenté ici

    Sans titre 3Crédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Chinga

    C'est une ATAXITE classée IVB. Elle a été trouvée en 1913 à Chinga dans la province de Tuva en Russie.

    ChingaCrédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Chélyabinsk

    Le 15 février 2013 vers 9h20 heure locale, une boule de feu suivi d’un énorme panache de fumée a illuminé le ciel au dessus de l’Oural. Quelques minutes plus tard, après un violent flash lumineux une explosion due à l’onde de choc du bolide endommagea de nombreux édifices et fit plus d’un millier de blessés. Une météorite venait de finir sa course près de la ville de Chelyabinsk située à 1500 km à l’est de Moscou. L’analyse de cette météorite a permis de la classer en chondrite ordinaire LL5.

    (source: http://www.carionmineraux.com)

    ChelyaChelya 1

     

     

  • La météorite Uruacu

    Météorite octahédrite trouvée au Brésil à Goias en 1992, classée IAB.

    Uruacu

    Lire la suite

  • La météorite Nantan

    Trouvée en 1958 à Guangxi en Chine, météorite octahédrite de classe IIICD.

    NantanCrédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Franconia

    Trouvée dans le désert du Mohave en Arizona (USA), de classe H5.

     

    Franconian mohave az

    Crédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Hébron

    Chondrite ordinaire de classe H6, elle provient du Nébraska (USA), trouvée en 1965.

    HebronCrédit photo : Tony Capillon

     

  • La météorite Chergach

    C'est une chondrite ordinaire de classe H5, découverte au Mali récemment (2007).

    Chergach

    Crédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Bondoc

    Découverte aux Philippines en 1956, c'est une mésosidérite de classe B4.

    Bondoc

    Crédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Vaca Muerta

    La météorite de Vaca Muerta est une Mésosidérite de classe A1, découverte en 1861 au Chili dans le désert d'Atacama, je vous présente ici un échantillon infime issu de ma collection, et un second plus gros (20mm x 12mm x 6mm).

    Vaca muertaVacaCrédit photo : Tony Capillon

     

  • La météorite Taza

    Taza (NWA 859) a été découverte en 2001 au Maroc près de la ville de Taza.
    C'est une météorite très stable avec un faible TKW de 75,3 kg (total connu dans le monde) pour une météorite ferreuse.
    Taza est une météorite très belle mais également rare.
    Elle est classifiée en plessitic octaédrite.

    (source: http://www.allmeteorite.com)

    Taza 1Crédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Muonionalusta

    La Muonionalusta a été découverte en 1906 à Kiruna (Suède), à proximité du cercle polaire. Elle est de type métallique et appartient à la classe des Sydérites octahédrites. Elle est composée essentiellement de Fer et de Nickel et est de classe IVA.

    MuonioCrédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Gibéon

    Gibeon est une météorite de fer tombée sur Terre en Namibie.

    La météorite de Gibeon est constituée d'un alliage fer-nickel et contient également du cobalt et du phosphore. Sa structure cristalline est un exemple d'octaédrite.

    La météorite s'est désintégré en de nombreux fragments avant son impact. Sa masse totale connue avant impact atteint 26 tonnes, ce qui en fait l'une des plus grosses météorites connues. Le champ d'éparpillement des fragments de la météorite recouvre une zone elliptique de 275 km de long sur 100 km de large, en Namibie. La météorite tire son nom de la ville la plus proche, Gibeon.

    Les fragments de la météorite sont connus depuis plusieurs siècles par les Namaquas, peuple de pasteurs d'Afrique australe, qui s'en servent pour construire des flèches et d'autres outils.

    En 1836, le capitaine britannique J. E. Alexander en recueille quelques échantillons et les expédie à Londres. John Herschelles analyse et confirme leur origine extraterrestre.

    C'est une sidérite octaédrite classée IV A, trouvée en Namibie en 1836. Pendant plusieurs années, Gibeon était la météorite la plus fréquente sur le marché. Des dizaines de tonnes ont été trouvées. Actuellement les chercheurs n’en récoltent que quelques kilos par année. La belle structure de ses figures de Widmanstätten et son excellent état de conservation en font la météorite la plus utilisée en bijouterie.

    (source:WIKIPEDIA et sur http://www.carionmineraux.com)

    GibeonCrédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Morasko

    La réserve naturelle de la météorite de Morasko (Polonais : Rezerwat przyrody meteoryt Morasko) est située dans la ville deMorasko, à la limite nord de la ville de PoznańPologne. Elle contient sept météorites. La réserve a une superficie de 55 hectares et a été créée en 1976.

    Le plus grand des sept cratères sur la réserve a un diamètre d'environ 100 mètres, pour environ 11 mètres de profondeur. Cinq de ces cratères, dont le plus grand, contiennent des lacs. La date de formation des cratères est estimé à environ 5000 ans (Holocène)2.

    La première météorite trouvée à Morasko a été découverte en 1914 par des soldats allemands travaillant à la construction d'une fortification militaire. Depuis, de nombreux autres fragments ont été retrouvés, dont un pesant 78 kg en 1956.

    En septembre 2006, Krzysztof Socha, travaillant pour le département de géologie de l'Université Adam Mickiewicz de Poznań, a découvert, à l'aide d'un détecteur de métaux une météorite qui pesait après nettoyage 164 kg. Il s'agissait de la plus grosse météorite découverte en Pologne3. L'analyse a montré que la météorite contenait un alliage de outre defer et de nickel, une petite quantité de silicates ( pyroxènes ) qui n'est pas produite sur Terre.

    En octobre 2012, une météorite pesant environ 300 kg a été récupérée à une profondeur de 2,1 m4.

    Actuellement, l'Université Adam Mickiewicz de Poznań envisage de fonder un centre éducatif, afin d'attirer l'attention sur la réserve et la météorite découverte.

     

    (source:WIKIPEDIA)

    Morasko

    Morasko nugget

    Crédit photo : Tony Capillon

  • La météorite Campo Del Cielo

    Le Campo del Cielo est un groupe de météorites trouvées en Argentine. Couvrant une superficie de plusieurs dizaines de km², la zone d'impact (également nommée Campo del Cielo) est criblée d'une vingtaine de cratères créés par la fragmentation d'une même météorite il y a 4 à 5 000 ans. Ces cratères et ces fragments métalliques sont mentionnés depuis 1576, mais sont connus des habitants de la région depuis plus longtemps.

    La masse totale des fragments récupérés dépassent 100 t, faisant du Campo del Cielo l'une des plus grosses météorites trouvées à la surface de la Terre. Le plus grand morceau, pesant 37 t, est la deuxième plus grosse météorite connue, après la météorite d'Hoba.

    Les fragments météoriques ont impacté une région située à la frontière des provinces du Chaco et de Santiago del Estero enArgentine, à un millier de km au nord-ouest de Buenos Aires. Le champ de cratères couvre une zone de 3 km sur 20 et contient au moins 26 cratères, le plus grand mesurant 115 mètres de long sur 91 mètres de large. Au moins deux des cratères possèdent des milliers de petits fragments métalliques. La zone couverte par des fragments plus petits s'étend encore au-delà, sur 60 km.

    La distribution inhabituelle des fragments suggère que le corps météorique initial s'est fragmenté après être entré dans l'atmosphère terrestre, mais avant d'atteindre le sol. On estime que la taille de ce corps mesurait au moins 4 m de diamètre.

    Les fragments contiennent un densité d'inclusions anormalement élevée pour une météorite ferreuse, ce qui pourrait avoir facilité sa désintégration. Des échantillons de charbon de bois ont été prélevés sous certains fragments afin de réaliser unedatation par le carbone 14 ; les résultats indiquent que l'impact s'est produit il y a entre 4 200 et 4 700 ans1.

    La composition moyenne des fragments est de 92,64 % Fe, 6,67 % Ni, 0,43 % Co, 0,25 % P, 87 ppm Ga, 407 ppm Ge et 3,6 ppm Ir2,3.

    Les premières mentions écrites de la météorite remontent à 1576. Le gouverneur d'une province du nord de l'Argentine (alors colonie espagnole) commissionne l'armée pour rechercher une grande masse de fer, que les Indiens utilisent pour leurs armes. Ceux-ci prétendent que cette masse est tombée du ciel dans un endroit qu'ils appellent Piguem Nonralta, traduit par les Espagnols en Campo del Cielo (« Champ du Ciel »). L'expédition militaire trouve une grande masse de métal sortant du sol. Elle suppose qu'il s'agit d'un filon métallique et rapporte quelques échantillons, décrits comme d'une pureté inhabituelle. Le gouverneur documente l'expédition et dépose le rapport dans les Archives générales des Indes à Séville où il est rapidement oublié. Les rapports ultérieurs sur la région ne font que répéter les légendes indiennes.

    Suivant ces légendes, don Bartolome Francisco de Maguna redécouvre la masse de fer en 1774 et la nomme el Meson de Fierro (« la Table de Fer »). Maguna pense qu'il s'agit du sommet d'un filon de fer. L'expédition suivante, conduite par Rubin de Celis en 1783, utilise des explosifs pour dégager le sol autour de la masse et trouve qu'il s'agit vraisemblablement d'une pierre unique. Celis estime sa masse à 15 tonnes, la tient pour sans valeur et l'abandonne. Lui-même ne pense pas que la pierre soit tombée du ciel et suppose qu'elle a été formée par une éruption volcanique. Toutefois, il envoie des échantillons à la Royal Society de Londres et publie son rapport dans lesPhilosophical Transactions of the Royal Society7. Ces échantillons sont analysés ; contenant 90 % de fer et 10 % de nickel, on leur désigne une origine météorique3.

    Par la suite, de nombreux fragments sont trouvés dans la région, leur masse allant de quelques miligrammes à 34 tonnes. Une masse d'une tonne, Otumpa, est localisée en 1803. Découpée, sa partie la plus importante (634 kg) est amenée à Buenos Aires en 1813, et donnée ensuite au British Museum. Le plus gros fragment, d'une masse de 37 tonnes, est localisé en 1969 à une profondeur de 5 m par un détecteur de métal3. Nommé El Chaco, il s'agit du plus gros morceau de météorite connu après la météorite d'Hoba (60 tonnes). La somme totale des fragments de Campo del Cielo dépasse cependant 60 tonnes de très loin, en faisant la plus grosse météorite jamais retrouvée sur Terre.

    ( source: WIKIPEDIA)CampoCampo 225Crédit photo : Tony Capillon

  • La météorite de Brenham

    Ces météorites de Brenham proviennent d'une nouvelle trouvaille, en octobre 2010, sur la ferme d'Allen Binford dans la province de Kiowa au Kensas. La météorite complète pesait 112 livres (52 kg) à 4 pieds de profondeur (1,20 mètre).
    Cette pierre fait partie de la chute référencée sous le nom de Brenham. Il s'agit d'une pallasite, météorite mixte, constituée d'une trame de fer et nickel avec des inclusions d'olivines. Les pallasites sont les seules météorites à présenter ces belles couleurs et sont nommées comme les plus belles des météorites.

    (texte empreinté sur :http://www.carionmineraux.com)

    Pallasite brenham 1
    Pallasite brenhamPallasite brenham 2 lotCrédit photo :Tony Capillon